Campagne

lundi 23 novembre 2009

[Résumé] Session 10


Ab'rak s'exprime :

V’la donc qu’le group’ et moi, z’on étaient en route pour Magnimar passqu’y fallait trouver un poto au Lupius qu’avait un « laboratoire », y paraît … bon j’ai pas trop compris, mais y’allait avoir surement de la baston, alors j’étais d’accord pour aider le p’tit homme et les z’aut’ aussi. Même que le pote Drag’, le prêtre de la déesse à partouze qui nous z’avait un peu aidé pour défoncer les gob’, y voulait profiter de l’occase pour faire le même chemin.
 
Et pis v’la  que j’vois de loin un corps que j’ai immédiatement reconnu comme étant c’lui d’ma Shalelu. Je fonce ! Elle était vivante mais super faiblarde. J’étais pas bien dans ma tête, ça m’faisait un mal de chien d’la voir com’ça ! J’pique une fiole d’anti-poison au p’tiot, vu qu’elle paraissait pas blessée sérieusement mais juste égratignée partout, que c’était suspect d’être si mal avec si peu d’chose (même si c’est une fille, c’est pas une mijorée la Shalelu). Bon ça pas été suffisant et l’a fallu un peu d’magie d’soin en plus, mais bon, après, l’était plus fraiche quand même.
Pis Shalelu, elle nous explique qu’elle était en mission dans les marais d’à côté pour trouver pourquoi y’avait les zommes-crapaud qui faisait des raids de pillage, pissque c’était pas dans leurs habitudes de faire du barouf si tôt passqu’y z’avaient fait déjà ça y’a pas longtemps… Bon c’était pas normal et ma Shalelu, elle est du genre à faire les trucs bien, quoi, alors elle a été voir. Mais elle s’est faite presque chopée et comme elle est du genre douée, ben elle a réussi à s’barer du marais, mais d’justesse. Voilà !
 
Alors pissque le Drag’ y voulait bien la ram’ner au bled avé la mule du p’tiot (encore une idée qu’il avait eu le Lupius, passqui sait pas aller en vadrouille sans emporter la moitié d’sa piole), ben moi, j’étais furax contre les zommes-crapaud et j’avais dit qu’il fallait aller les buter, et pis comme les z ‘aut’ y z’étaient d’accord, bon, ben on est entré dans l’marais. Le lupius y connaissait un peu vu qu’il avait déjà été dans sa jeunesse (bon ça m’a un peu étonné passque c’est pas le genre à prendre des risques) et y savait qu’y fallait aller vers un gros caillou que Shalelu lui avait dit, alors on a été par là.
 
Alors on marche dans l’marais qu’était pas trop crade vu la saison, mais qu’on a eu l’impression, surtout le Lupius, qu’y’avait comme un « mauvaiz’œil » qui nous portait la poisse un moment… Bon, ben c’est aussi les risques du job de chagriner les dieux du hazard !
Pis v’la qu’on tombe sur un chariot d’paysans renversé et vidé avé le bœuf qui l’tirait complètement naze ou presque. C’était clair qu’y’avait eu une attaque et que l’paysan s’était fait piquer. Comme les traces étaient celles de créatures genre qui sont à l’aise dans la flotte, on a pensé que c’était les zommes-crapaud. Le père Olaf y m’a d’mandé d’buter le bœuf pour pas qui souffre, alors comme il est sympa avec moi le père Olaf, ben j’lai fait, mais j’ai pas trop compris pourquoi, vu q’lui aussi pouvait l’faire. Bon, en même temps c’est l’père Olaf, alors j’pose pas d’question vu qu’c’est un pote.
 
Alorss on suit not’piste vers l’caillou, et pis v’la qu’à un moment on entend un cri-ki-tu (c’est com’ça qu’nous les zorks on appelle les bruits qui font mal aux zoreilles) que le Lupius ça l’a tout perturbé. Y’a 4 zommes-crapaud qui apparaissent de dedans du marais et qui nous z’attaquent d’abord avé leurs langues qui collent puis avé des grosses massues. Le père Olaf qu’est courageux, y cherche à s’faire le shaman qu’a crié et y fait apparaître un marteau magique volant pour cogner plus fort. Le nelfe et Lupius y z’essayent de s’faire un aut’, tandis qu’moi j’m’en prend deux d’un coup, que j’me dis que j’vais m’les faire facile. Bon Olaf et moi on en bute chacun un, mais les z’aut’ y s’barrent très vite. Là le p’tiot m’a étonné quand même passque même avec les zoreilles qui bourdonnent, il a vraiment pris des risques et été à la baston, alors que j’me suis dis qui pouvait quand même être utile (quand y cause pas…).
 
On continue la piste et on arrive à un rideau d’arbres qu’est tout couvert de corps attachés, certains même qui sont pas frais. Comme j’ai l’oreille fine, j’entend qu’y’en a un qui gémis. C’est un nelfe à poil qu’à l’bras cassé, mais qui respire encore. J’me dis qu’ça va faire plaisir à not’nelfe à nous, alors j’l’appelle… pis y’a un drôle de truc par terre que j’veux qui voi-ye passque ça m’dis rien. Bon, j’décroche le mec, et j’lui fait un bandage vite fait pour pas qu’on m’accuse encore d’y avoir cassé l’bras tout seul… Les z ‘aut’ y lui font des soins magiques et not’nelfe il essaye de causer avec, mais l’mec y semble pas bien comprendre. Alors y lui file le truc qu’j’ai trouvé, qu’est une sorte de masque en bois et que j’crois que ça l’aide à parler. Les zelfes y’s’causent entre eux et comme j’y pige que dale j’monte sur les z’arbres pour voir c’qu’y’a plus loin. J’vois une p’tite colline avé une cabane, mais les z’aut’ y s’en foutent passque le nelfe à poil y trouvent que c’est plus intéressant, et pis comme Lupius y comprends un peu, et pis qu’le père Olaf dès qu’y’a un mec à réparer y préfère s’en occuper, ben j’vais voir tout seul.
 
J’trouve une cabane de branchages avé dedans une mare pleine de têtards qu’ont l’air gros pour des têtards, et pis derrière un piquet qu’est attaché dessus une p’tite créature qui bouge pas. Alors j’ramène aux z’aut’ la p’tite chose qu’est vraiment bien morte d’après le père Olaf qui s’y connaît bien. Là les z’aut’ y’m’disent que le nelfe à poil y s’appelle Zorg’chose et qui vient d’une île vachement loin et qui s’est fait gauler par les zommes-crapaud passqui cherche à tuer une « abomination » et qui voudrait bien que not’nelfe y l’aide à la buter. Le Scalarel  et le Lupius y z’ont l’air de bien l’aimer le nouveau, mais moi j’le sens pas, et pis j’le trouve pas très dégourdi pissque si y veut tuer un truc super balaize, il est même pas cap de s’détacher tout seul ni d’buter des zommes-crapaud… Bon c’que j’en dis tou’l’monde s’en fout, alors j’propose d’aller voir la cabane. Le père Olaf y’m’dit que les têtards c’est des bébés zommes-crapaud, et qui faut les tuer tous. J’essaye mais les têtards se barrent au fond d’la mare, alors pendant qu’les z’aut’ y s’reposent, ben j’remplis d’terre la mare et pis voilà, comme ça sont tous canés. Vite fait bien fait !
 
On laisse dans la cabane le nouveau, pissqui veut bien (faut dire qu’y’a les z’aut’ qui lui ont filé un arc tout neuf et une dague … alors qu’on l’connaît pas l’mec … j’vous jure des fois j’trouve qu’y’a qu’moi qui réfléchit dans l’group’), et on continue vers le caillou. En fait c’est les restes d’une méga grosse statue, en fait y’a pu que les pieds, mais c’est déjà balèze. Entre les pieds y’a une grosse cabane de branchages. Les z’aut’ y z’y vont pendant qu’j’fais le tour, on sait jamais que j’me dis. Le Lupius y rentre après avoir mis le masque de peaux piqué à l’apprenti-liche qu’ont a buté y’a pas longtemps … J’sais pas pourquoi y met ça, mais des fois le p’tiot j’ai un peu d’mal à l’comprendre. Le Scalarel y rentre aussi puis le père Olaf et moi j’me tiens à la porte. Dedans y’a un gros champignon qui sert de table on dirait et pis une mare au fond. En cherchant y récupèrent un fétiche, une émeraude et une statuette de grenouille, et pis c’est tout. Mais v’là qu’au moment où tout l’monde fait pas attention un énorme zomme-crapaud-fille sort de la mare et nous crache une saloperie qui brûle. On en prend tous plein la tronche et on sort en vitesse passque la créature s’est rebarrée dans la mare. Le père Olaf pête un cable et casse en milles morceaux la statuette de grenouille…  Il aime pas les trucs qui brûlent, faut qu’j’m’en souvienne. Moi j’propose de casser la cabane, mais tout d’un coup v’là qu’la chose revient par le marais et qu’elle a l’air de mauvaise humeur (ça tombe bien, moi aussi). Elle hurle un truc qui m’fais mal aux zoreilles, et pis l’herbe se met à pousser d’un coup. Moi et l’père Olaf, on s’en fout, mais le nelfe et Lupius y z’aiment pas et s’cassent la gueule. On tire un peu, et pour une fois le Scalarel y lance un sort magique qui marche, un truc qui brûle, mais il a pas réfléchi qu’une créature des marais c’est mouillé, alors ça fait pas grand chose. Bon là j’en ai marre, et pis j’veux venger ma Shalelu, alors je charge et j’lui saute à la gorge et d’un grand coup j’lui fait une entaille maouss. Sauf qu’en fait la fille-crapaud c’est une shaman et qu’elle se guérit toute seule. Le père Olaf essaye de m’donner un coup d’main mais fait pas grand chose, alors j’m’énerve et d’un coup vlà que j’la coupe en deux. Ouais comme j’vous dis, d’un seul coup ! (Y’a eu un éclair dans l’ciel au même moment, j’crois que les dieux du hazard y sont tombés sur l’cul).
 
J’suis super fier passque l’père Olaf y m’explique que c’est cette créature que la Shalelu elle cherchait à trouver. J’l’ai vengé tout seul ! Alors j’monte sur les statues pour lancer mon cri de guerre et défier les z’aut’ zommes–crapaud. Le Scalarel y prend la tête que j’ai coupé tout seul et pis on repart à la première cabane. Pour être sympa, j’signale au père Olaf qu’y a plein d’cadavres accrochés aux z’arbres et qu’on peut faire un bûcher si y veut. Comme y veut j’prends les branchages des deux cabanes et y s’fait un beau bûcher et y prie pour les morts. Bon c’est son truc en même temps, y’a pas d’raison de pas lui faire plaisir. Moi j’ai vengé Shalelu, le Lupius et le Scalarel y z’ont un nouveau pote, alors fallait bien que l’père Olaf il ait aussi un peu d’bon temps. On y passe la nuit pénards, même si les zommes-crapaud essayent de nous attaquer, mais y z’ont aucune chance et repartent.
 
Le lendemain, le Zorg’chose y va mieux (note qu’y récupère vite le mec), et y veut qu’on le suive hors des marais pour l’aider à buter son « abomination ». Les z’aut’ y z’ont l’air de vouloir et comme j’peux pas les laisser seuls avec un mec qui connaissent pas, j’préfère les accompagner même si j’aurai préféré aller dire à shalelu que j’avais fini son travail. Note quand même que j’suis bien disposé passque le nouveau nelfe y veut bien m’aider à vaincre le barghest et comme il a l’air de s’y connaître en magie : Y glisse au dessus des marais sans s’mouiller. Alors on le suit tous vers le Bois aux Murmures …

lundi 2 novembre 2009

Intersession 6



Il est visible qu'Ab’rak est revenu plus satisfait que d’habitude de ce qui devait n’être pourtant qu’une simple chasse à l’homme parce qu’il a “enfin” gagné qqchose de valeur ...
Mais tous ont remarqué un changement dans son attitude : moins rigolard, plus sombre, ils ont même du être surpris qu’il ne vide pas plus d’une demi-douzaine de chopes après l’aventure.

Par contre il exhibe avec fierté son cimeterre au point de laisser sa fidèle grande hache chez dans la chambre de Shalelu à l'auberge quand il sort “en ville”. Il a fait réparer son armure qui a été considérablement endommagée par son combat, mais malgré les conseils de l’armurier, il tient absolument à ne pas en changer, comme s’il se refusait d’oublier la “chose” qui a laissé d’énormes estafilades sur le cuir épais.

Dès le lendemain, et dans jours qui suivant, il se rend à l’extérieur de Pointesable, à un endroit cependant visible de tous (Ab’rak reste Ab’rak) et s’entraine durement et avec détermination avec son cimeterre. Des gamins ont pris l'habitude de la suivre et la nouvelle se répand vite qu'il a réussit à fendre en 2 un tronc. Les deux gardes municipaux qui accompagne le demi-orque ont vu avec amusement les mères affolées par la réputation de brutalité du demi-orc venir rechercher leur progéniture (qui reviennent à la première occasion braver l’interdit).

Avec le bouche à oreille, certains citoyens de Pointesable se tiennent à l'écart du roublard et tous le considérèrent avec un respect prudent car après tout s'il est une pièce maitresse pour le village il a encore une sinistre réputation. Son séjour plein d'humilité à la taverne de Dent-cassé a calmé pour l'instant ceux qui voulaient qu'il parte de Pointesable.

ORIK VANCASKERKIN, le guerrier repenti est revenu à Pointesable après un travail d'escorte. Il semble avoir pris comme une mission sacrée de servir de partenaire au demi-orque (ce qui d'ailleurs n'a pas forcément renforcé le côté sympathique du duo). Orik a incité le demi-orque a adopté "La Voie Franche" où la puissance du coup doit l'emporter sur sa précision.


[Résumé] Session 9



La réponse d’Ab’rak ne me surpris pas, toujours partant pour casser du gob, par contre le père Olaf d’un ton solennel s’excusa de ne pas pouvoir participer à notre petite expédition. Prétextant qu’il devait absolument se rendre au manoir pour guider et seconder le prêtre de Desna et ses acolytes dans leurs démarches de purification. C’est surement de bons augures pour sa carrière ….

PARTIE ENTRE AMIS

Le lendemain matin, Ab’rak et moi sortions de l’auberge pour nous rendre à la porte nord, lieu de notre rendez vous. Passé la porte nous découvrîmes Lupius en compagnie d’une mule lourdement chargée. Décidément il n’y avait pas de temps à perdre. Ab’rak osa demander des explications concernant cette nouvelle expédition, quelle erreur, Lupius parti dans un récit sans fin. Constatant au bout de quelques minutes que ce dernier n’écoutait plus et que moi-même j’étais assis sur les marches de l’auberge tête entre les mains, Lupius donna le signal de départ.

La route vers le  pic aux chardons se passa sans problèmes. A notre arrivée sur les lieux, nous constatâmes que le labyrinthe de haies épineuses avait été entièrement rasé, et que le fortin était lui aussi qu’un amas de cendres. Sans perdre un instant nous descendîmes jusqu’au temple de la Lamashtu pour constater qu’il avait été récemment réhabilité.

Pour une fois très discrets, nous fûmes surpris par un « éclat » de son qui nous occasionna
quelques blessures au moment  d’ouvrir la grande porte  qui se tenait devant nous. L’effet de surprise passé, une pièce en L s’ouvrit devant nous laissant apparaître  Brodert Quink étendu sur le sol. Derrière lui à quelques mètres se dressait un voile magique complètement opaque duquel une boule de feu sorti pour se diriger sur Lupius déjà au chevet de son maître. Ab’rak chargea en poussant un hurlement guerrier, mais se heurta au mur. Déconcerté, il  s’occupa de sauver le vieux Quink en empoignant son pauvre corps et en effectuant une superbe voltige au dessus de la boule de feu de plus en plus menaçante. Lupius inquiet ne pouvait chasser de son esprit l’image du fermier brisé en deux après être passé entre les mains d’Ab’rak. Mais tout se passa pour le mieux et le vieux Quink fût mis à l’écart. Pendant se temps je fis jaillir au hasard deux traits d’électricité à travers le rideau de magie, le second fît mouche. Malgré l’apparition d’un cimeterre volant qui me harcelait je m’approchais à bout portant du voile pour décharger un cône de flammes. L’effet fût immédiat, le voile tomba découvrant les trois individus auteurs du Kidnapping. La magicienne était au sol, alors que le demi-elfe bandait son arc, l’homme en armure nous attendait de pieds fermes. Le demi-elfe loupa son tir, Lupius aveugla l’homme en armure à l’aide de sa magie. Je le chargeais profitant de sa cécité pendant Ab’rak engageait l’archer. Un coup de baguette d’électricité me suffit pour l’achever sans perdre une seconde je pris le demi-elfe en tenaille pour lui porter un dernier assaut. Ab’rak n’est pas en forme se soir……

Pendant que Lupius s’occupait de son maître torturé, Ab’rak et moi commencions à fouiller les corps.
Des parchemins utilisés, un pendentif représentant une tête de chacal, 25PO, un arc et un cimeterre de bonne facture qu’Ab’rak s’appropria comme un trésor inestimable. Il sautillait dans tous les sens en faisant virevolter la lame au dessus de sa tête. Un vrai gamin…..Compte tenu de circonstances je mis de côté ma fierté pour examiné le cimeterre et dévoiler ses secrets à Ab’rak

Alors que Lupius nous rappela qu’il fallait faire un prisonnier……Aïe Aïe Aïe, Le vieux Quink nous raconta son histoire. Je peux vous dire que l’élève et loin d’avoir dépassé le maître.  Il finit par nous avouer que la sculpture en pierre représentant un tas de pièces qui se trouvait de l’autre coté de la salle était en fait un mécanisme ingénieux  permettant d’ouvrir un passage. Fier de lui, il nous montra son fonctionnement et ouvrit le passage qui déboucha sur un palier avec trois portes.

Avant de s’engager nous nous aperçûmes que le demi-elfe était encore un peu vivant. Après l’avoir stabilisé et ligoté notre exploration repris.

La première pièce était une sorte de salle d’opération. Un tas d’os appartenant d’après Lupius à une seule et même créature était sur une grande table. Il y avait de part et d’autre des instruments de chirurgie d’après le vieux Quink cette foi-ci. Il me montra une étoile à sept branches qui nous permis par la suite d’ouvrir une seconde salle rectangulaire dotée d’une fosse centrale servant de foyer à un immense feu. Ab’rak se  précipita dans la pièce pour espérer piller le maximum de choses, un chien énorme apparut alors, un bête magnifique mais terriblement dangereuse. Le combat commença Ab’rak était débordé malgré mon sort qui affaiblissait la bête. Il frôla même la mort, prit sous les coups de crocs et de griffes de ce Barghest. Merci Père Olaf pour les potions de soins….Quink nous intimât l’ordre de quitter les lieux au plus vite sans avoir à le répéter deux fois. La porte enfin fermé, Ab’rak vexé par son impuissance se jura de revenir réglé son compte à cette bête sortie tout droit des enfers.

Après un temps de récupération, la troisième salle était d’après nos observation une « salle de communication » avec probablement d’autres plans. Deux statuts en pierres entouraient un spectre assis sur un trône délivrant un message en boucle qui nous n’arrivions pas à déchiffrer dans sa totalité.

L’heure du retour à Pointesable avait sonné, l’interrogatoire du demi-elfe nous appris que le prêtre (l'homme au cimeterre) l’avait engagé lui et ses amis pour entreprendre les restaurations du temple de la déesse Lamashtu et qu’ils avaient kidnappé ce pauvre Quink pour ses connaissances thassilonniennes.

De retour en ville, le vieux Quink livra le demi-elfe aux autorités et leur fît part de notre courage d’avoir servit une foi de plus les intérêts de la cité, afin de redorer notre réputation….

Pensées de Scalarel


Devant l’adversité notre petit groupe semble avoir  réussit à travaillé ensemble…….


Cimeterre à 2 mains
Arme +2 (pour toucher et aux dégâts)